Baseball

Clayton Kershaw n’a aucun autre choix que de revenir avec les Dodgers

Clayton Kershaw a caressé le soleil pour la toute première fois, le 19 mars 1988, à Dallas (Texas), là où Steve Earle et Cody Jinks sont plus estimés que les Stars de Dallas, formation menée par Jamie Benn.

Au Texas, les Rangers siègent sur cet état depuis 1961, et c’est l’édition 2023 qui est parvenue à rafler ce Saint-Graal, soit la Série mondiale, pour la première fois de l’histoire de la concession. Ce fait d’armes a été dessiné le 1er novembre dernier, lors d’un triomphe de 5-0, face aux D-Backs de l’Arizona.

Tout ça me guide vers un calcul mathématique bien simple : les Rangers veulent répéter cet exploit et il est capital pour ce groupe d’ajouter un bras à sa rotation. Le Kersh, qui figure sur la liste des agents libres, se retrouve sur les lignes de côté à la suite d’une opération à l’épaule, mais son objectif demeure limpide : il souhaite escalader une butte à nouveau.

C’est là que le calcul se met en branle. Le futur membre du Panthéon de la renommée est originaire du Texas, les Rangers se cherchent un bras, ce qui nous véhicule vers cette formule de 3 : 1 + 1 = 2.

Par contre, l’as de la glissante, un lancer peu puissant, mais folklorique, se doit de revêtir à nouveau un maillot des Dodgers de Los Angeles afin de pointer l’étoffé récit de la MLB. Juste d’imaginer que Kersh fracasse la barre des 3000 K’s dans l’uniforme bleu des Dodgers, ça m’exalte à un très haut niveau.

Au moment où vos yeux parcourent ce bref papier, la patte gauche présente un total de 2944 retraits sur trois prises. Avec 56, il atteindrait donc les 3000 dans le même uniforme, devenant ainsi le 21e artilleur à défoncer un tel plateau.

Les Rangers représentent peut-être une petite menace, mais avec la volonté de certains membres de Dodgers, dont Walker Buehler, de courtiser Kershaw, comment pourrait-il refuser? Les Dodgers doivent s’occuper de lui en déposant une proposition honnête dans le but qu’il lance des balles quelque part lors de la prochaine période estivale.

Perso, je souhaite de tout cœur apercevoir Kershaw encore quelques années puisqu’il demeure l’un de mes lanceurs fétiches.

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