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Le succès du Rocket en désavantage numérique

Même si le Rocket de Laval tire de l’arrière face aux Thunderbirds de Springfield, la troupe de Jean-Francois Houle est dominante en désavantage numérique dernièrement.

En fait, depuis le début de cette série, le Rocket n’a pas alloué un seul but en 25 occasions aux Thunderbirds. On parle donc de 5 rencontres sans but avec un homme en plus pour Springfield qui possédait pourtant le meilleur avantage numérique de la Ligue Américaine dans ces séries éliminatoires.

On a trouvé une belle recette pour fermer la porte avec une bonne pression des attaquants et très peu d’espace pour l’adversaire en entrée de territoire. On travaille donc bien en unité de 3 ou 4 pour fermer les ouvertures. On tente d’enlever le plus de marge de manœuvre possible afin de passer moins de temps en carré défensif devant Cayden Primeau. Le succès s’explique aussi par l’efficacité des lancers bloqués et pour récupérer rapidement le disque.

En avantage numérique, le Rocket est un peu moins solide, mais a tout de même marqué 2 buts en 15 occasions pour environ 13% d’efficacité. On doit être meilleur de ce côté, mais on a marqué ces 2 filets à nos deux derniers matchs pour être 2 en 7. C’est probablement avec l’avantage numérique que l’on pourra avoir une petite chance de battre Springfield dans cette série.

Ça rappelle un peu le parcours du Canadien l’an dernier qui était très solide dans cette facette de jeu. On voit donc clairement qu’il est important d’avoir du succès en unités spéciales pour vaincre les meilleures équipes.

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