De bonnes nouvelles sont à l’horizon dans la LNH, alors que les finances de la ligue auraient repris du galon dernièrement.

Selon l’informateur Elliotte Friedman, la ligue aurait récemment fait savoir aux 32 formations que le plafond salarial devrait grimper dans les prochaines années, c’est-à-dire jusqu’en 2025.

Reporting W/@RoryBoylen: teams received some guidance on where the cap “could” be going — https://t.co/DFGtAQQqFm

— Elliotte Friedman (@FriedgeHNIC) September 27, 2022

On ne parle pas d’une grosse augmentation l’an prochain avec un million de plus prévus dans les finances. Toutefois, à partir de 2024, on parle d’une hausse de 4 M$ par saison sur le plafond. Ajoutez donc 9 M$ dans trois ans et on passerait ainsi de 82,5 M$ à 91,5 M$ de masse salariale dans trois ans.

Vous comprendrez que depuis le début de la pandémie de la COVID-19, il n’y a pas eu de mouvement à ce chapitre puisque les finances de la ligue n’étaient pas très solides. Maintenant que l’on est de retour avec les amateurs dans les amphithéâtres, le retrait des restrictions et que l’on peut maintenant retrouver des publicités sur l’équipement des équipes, le futur de la ligue n’est que positif financièrement.

Cette augmentation se veut donc une excellente nouvelle pour tout le monde, alors que les joueurs pourront tenter d’obtenir de meilleurs contrats et que les directeurs généraux auront plus de marge manœuvre pour signer les joueurs importants.

Si on pense au Canadien, c’est une importante hausse à prendre en considération avec tous les jeunes qui arriveront à Montréal d’ici trois ans. Lorsque le ménage des contrats sera complété, Kent Hughes pourra offrir des ententes aux joueurs les plus dominants. Des joueurs comme Cole Caufield, Juraj Slafkovsky et Kaiden Guhle pourraient même demander de gros salaires d’ici 2025 et on pourra aisément les signer.

Présentement, il y a seulement 6 joueurs du Canadien sous contrat après 2025, dont Carey Price qui se retrouve sur la liste des blessés à long terme. On sera complètement ouvert pour signer des contrats à Montréal.

Bref, une augmentation du plafond salarial en pleine reconstruction n’est jamais une mauvaise nouvelle.