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Juraj Slafkovsky et Logan Cooley se retrouvent

Tout au long de leur carrière dans la LNH, les attaquants Juraj Slafkovsky et Logan Cooley seront comparés sur leur production. Lequel aura été un meilleur choix au final pour le repêchage de 2022 ?

Étant donné que les joueurs s’affronteront ce soir, ça nous donne l’occasion de comparer leurs débuts dans la LNH. À ce point-ci, difficile de dire quel est le meilleur parcours à emprunter vers le succès dans le circuit Bettman.

Slafkovsky a fait ses débuts dans la LNH rapidement, tout de suite après la première année du repêchage. On a vu un jeune homme de 18 ans qui avait de la difficulté à s’ajuster à sa saison recrue, même s’il prenait de l’expérience sur la vitesse du jeu. Au bout du compte le Slovaque a amassé 4 buts et 10 points en 39 matchs avec l’ajustement d’une patinoire plus petite.

Cependant, ses premiers pas dans la ligue l’ont aidé à devenir plus efficace à sa deuxième année et le Slovaque est devenu très efficace sur le premier trio du Canadien cette saison. Il a récolté 12 buts et 30 points en 58 parties. Il est actuellement le meilleur joueur offensif de son année de repêchage.

Pour sa part, Cooley ne suit pas très loin derrière cette saison, lui qui dispute sa première année dans le circuit. Avec les Coyotes, il totalise 8 buts et 27 points en 57 rencontres. Une production intéressante qui a toutefois diminué au fil que la saison avance.

Avant de faire le saut avec l’Arizona, l’Américain de 19 ans a disputé une saison complète dans les rangs universitaires, terminant dans le top 3 des marqueurs de la NCAA avec 22 buts et 60 points en 39 petits matchs. Il a appris à dominer dans cette ligue, prenant aussi de l’expérience en s’inclinant en finale contre Quinnipac. C’est donc un très beau parcours également.

Ainsi, si on compare les deux joueurs aujourd’hui, on se retrouve avec deux athlètes qui produisent au même rythme pratiquement. Ce qui prouve qu’il n’y a pas nécessairement un parcours miracle pour le développement. Chaque joueur est différent et chaque individu possède une vague d’apprentissage différente. C’est donc difficile de prendre la bonne décision.

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